…et vilaines petites maladies. Comme celle des taches noires (Marssonina rosae)
Certains rosiers vivent avec, et bien que moins beaux par moment, ne semblent pas en souffrir au point d’en diminuer la vitalité la saison suivante. Il est recommandé de ne jamais mouiller le feuillage. Tout comme moi vous avez dû remarquer que la rosée (ou que les petites pluies de printemps par ailleurs si bénéfiques) savent très bien mouiller vos rosiers. D’autres variétés sont résistantes et ne présentent jamais les symptômes de l’attaque de ce champignon. La sélection des variétés résistantes est l’une des voies d’avenir. L’emploi de spécialités « contre les maladies » ou l’emploi de fongicides n’apporte pas de solution durable. Même le cuivre (bouillie bordelaise ou autres formes) doit être maintenant utilisé avec précaution. Par exemple en couvrant le sol d’une bâche ou de carton pendant l’application et quelques heures après.. Ce métal s’accumule dans les sols où il entraine des phénomènes de blocage et d’inhibition des échanges, en particulier celui pour lesquels les champignons sont indispensables. Voilà pourquoi vous lisez ici et là que l’apport de mycorhizes devient nécessaire. Nous avons détruits, avec nos « produits contre les maladies », ces éléments vivants associés aux systèmes racinaires, il faut maintenant en acheter! Il y a de quoi être atterré, non?